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Toujours le même problème

A côté des cousins oubliés mais, dont on peut retrouver la trace, il y a ceux, dont on a entendu parlé ou rencontrées mais pour lesquels un lien évident n’a pas été trouvé.

C’est le cas notamment de Théo Péran (page 09-25) mais aussi de Serge Péran, qui nous a rendu visite et que j’ai retrouvé à Paris. Dans une lettre il parlait de sa grand-mère.

Célestine Potin parlait parfois de son oncle d’Amérique.

Elle est allée également voir à Quimper un autre cousin, prêtre de la paroisse de Kerfeunteun. Nous l’avions accompagnée.

Que dire d’ Yves Lichou, que nous allions voir à Morgat à la fin des années 50 et, que nous avons retrouvé à Versailles au tout début des années 70 ; il était alors gardien d’immeuble.

Comment les retrouver ?

Mathurin Jules Potin

En fait c’est le seul parent proche. Il est bien l’oncle de Célestine Potin. Il est décédé à Corfou de la grippe espagnole à la fin de la guerre 14/18. A ce titre il est « Mort pour la France ».

C’était peut-être le fameux oncle d’Amérique.

Curieusement il avait une fille, également unique, Louise Françoise, qui a habité le Bergot.

Elle est décédée très vite ; le « confort » et « l’hygiène » dans ces baraques laissaient à désirer et il y a eu beaucoup de dégâts.

Édouard l’a-t-il eue comme patiente ? C’est possible car il allait souvent au Bergot. Par contre je ne me souviens pas en avoir entendu parler.

La fiche matricule de Mathurin Jules s’arrête en 1909. Il était inscrit maritime (n°5239).

Ici encore la page reste ouverte.