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Yves Le Bihan
Comme pour les Le Lann on remonte dans le temps.
Les enfants de Prosper Le Bihan ont été placés chez des fermiers, mais pas à Telgruc, semble-t-il, car ils ne figurent pas dans les dénombrements des populations de la commune à l’exception de celui de 1881.
Du coup il est difficile de les retrouver, même s’il n’y a pas beaucoup de personnes à s’appeler Le Bihan sur la presqu’ile de Crozon.
Yves Le Bihan, né le 29 décembre 1858, réapparaît au Gouérest, où il épouse Louise Capitaine le 6 janvier 1884.
Il est arrivé récemment, puisqu’ il figure encore dans le dénombrement de 1881 de la commune de Telgruc.
Il est possible qu’il ait fait un détour par l’une des communes voisines, mais ce n’est pas certain et la lecture des dénombrements est assez fastidieuse.
En fait il est arrivé à Roscanvel juste après le dénombrement car le 30 avril 1882 naît chez les Capitaine Yves Marie, qu’il reconnaîtra lors de son mariage en 1884 avec Louise Capitaine. A moins, que le père soit vraiment inconnu
Grille 48 d’Yves Le Bihan
Il manque donc le père de Prosper. Sa mère est originaire de Poullan, près de Douarnenez. Malheureusement le patronyme est très fréquent dans la région et le choix des prénoms très limité ; on a souvent Hervé ou Yves. Les raccordements sont donc très difficiles à justifier.
La faille Kerspern est de Telgruc, plus précisément du village de Luzéoc’h, qui se trouve juste à côté de la carrière de Menez Luz.
Avec les Le Fouest, autre patronyme spécifique à Telgruc, on est à Kergréac’h.
Marie Jeanne Louis Capitaine
Elle a eu semble-t-il 12 enfants donc 9 sont arrivés à l’âge adulte.
Elle a été photographiée avec deux de ses fils : Hervé et Pierre.
Elle a souffert d’un glaucome sévère.
En attendant de pouvoir rédiger une page spécifique sur la branche Capitaine, il faut se contenter de la grille 48
Si la famille Capitaine est de Dinéault, du moins dans les limites de la grille ci-dessus, le reste des ascendants de Louise Capitaine est de Roscanvel avec, curieusement, deux branches Goascoz, qui sont vraisemblablement issues d’une seule origine. Il y a aussi des Carn, des Thépot…
On verra dans les pages du 3ème volume (Termaji), que l’on a des difficultés à remonter les branches Corrigou et Piriou