Version 5.4_Page 07-01_ décembre 2023
Pour répondre à une demande maintes fois exprimée, j’ai essayé de remonter la généalogie d’Anne Marie.
Ici il n’y a pas les 300 documents de Thérèse Le Lann, ni les carnets d’Hervé Le Bihan, ni les photos de Pierre Le Lann mais il y a quand même quelques indices.
Le nom de la branche Saclé est rare. Selon Papy la famille est d’origine bourguignonne, mais pour Jean-François il faut aller voir aussi du côté de la Lorraine.
Pour Mémé Saclé, née Bancod, il faut aller dans son pays d’origine, le val d’Aoste.
Pépé Garnier, le père de Mamie est originaire d’Allègre, commune de la Haute Loire.
Par contre retrouver la trace de la famille Blanc sera plus complexe, car c’est un nom très courant et suivre la piste du Puy, chef-lieu de la Haute-Loire, était une erreur. En fait on va s’arrêter à Fix (voir plus bas) et la piste s’arrête brutalement. .
Quelques photos
Faute de documents, on aurait pu espérer des photos mais il n’y en a pas beaucoup non plus.
Chez les Garnier
La première photo date de 1926 avec de gauche à droite Baptiste Garnier, Paulette Gantier, Marcelle Garnier et leur mère, Françoise Blanc.
La seconde photo a été prise en 1940. il y a toujours Baptiste et Paulette Garnier, Paul Garnier, la tante Marie (qui a épousé Antoine Pougeon) et Françoise Blanc.
Armand Louis Saclé (Papy) avec sa nièce, Elisabeth Garnier, petite fille de Baptiste Garnier.
Numérotation SOSA
On va utiliser la même convention, que pour la généalogie bretonne, mais les numéros d’ordre sont précédés ici de la lettre A pour les différencier: Anne Marie a le numéro A1, Papy le numéro A2, Mamie le numéro A3…
Les grilles
Les premières grilles ont été établies sur la base 37, mais finalement, avec les dernières acquisitions faites sur le net, il a été possible de revenir au schéma initial : des grilles 48 allant de la 4ème à la 8ème génération, même si dans un certain nombre de cas elles ne vont pas beaucoup plus loin. Par convention, s’il y a des individus de la 9ème et de la 11ème génération, une grille 711 sera remplie et rangée dans le chapitre 10 (effet de zoom). S’il n’y que des individus de la 9ème génération, ils viennent en complément dans la dernière colonne des grilles 48.
Si pour les ancêtres bretons le point de départ avait été la photographie de Roscanvel, qui est chez grand-mère et où figurent les 8 arrière-grands parents, ici on ne les a pas, ce qui n’interdit pas de constituer une grille avec ces 8 individus.
Les premières difficultés
N’ayant pas la possibilité d’aller voir sur place, il faut se contenter des archives en ligne et des généalogies mises sur internet.
En général les archives communales sont regroupées au niveau du chef lieu du département, avec deux exceptions de taille : la région parisienne et le Val d’Aoste.
Bien évidemment chaque département de la région parisienne a créé son propre système d’accès en ligne avec des approches différentes. Du côté du Val d’Aoste il faut aller sur palce ou se contenter des filiations mises sur Généanet par des cousins éloignés de la famille Bancod, qui ont fait une partie du travail de recherche. Dans ce cas précis c’est Louise Di Filippo, arrière petite fille du frère de Marie Clémentine Bancod, qui a fait le travail de recherche.
Pour les généalogies mises sur internet la référence reste le site Généanet, mais, comme pour les généalogies utilisées dans les pages bretonnes, le résultat est très variable. Ces généalogies sont toutes descendantes, alors que dans nos pages elles sont ascendantes. Il y ici aussi le problème des homonymes, des dates calculées, des prénoms avalés…
Une difficulté supplémentaire : le village de Fix
La formation de Fix-Saint Geneys
Selon Wikipedia Fix (latin finis : confins, frontière, limite) constitue probablement depuis l’époque gauloise la frontière entre le pays des Vellaves et celui des Arvernes.
Les diocèses ont souvent emprunté les limites des anciens « pagus » gaulois, ce qui fait que Fix est le point de contact entre le diocèse du Puy et celui de Saint-Flour. Sous l’ancien régime, il y avait alors à Fix deux paroisses : Saint-Geneix–de-Fix rattachée au diocèse du Puy, archiprêtré de Saint-Paulien, et Saint-Julien-de-Fix rattachée au diocèse de Saint-Flour, archiprêtré de Langeac. On avait donc deux villages avec deux églises. Saint Geneix était parfois appelé Fix-haut et Saint Julien, Fix-bas. Les deux villages sont séparés par ce qui est aujourd’hui la RN102.
Le seigneur de Saint Julien était le marquis de Lafayette.
Après avoir changé plusieurs fois de nom, Saint Julien de Fix s’est finalement appelé Fix-Villeneuve. Puis en 1858 une partie du village a été rattachée à Saint Geneix de Fix, qui a pris le nom de Fix Saint Geneys. Le reste de Fix-Villeneuve a pris le nom de Sainte Eugénie de Villeneuve, le conseil municipal ayant voulu faire sa cour à l’impératrice Eugénie.
Tous ces changements ne facilitent pas le recherche des ascendants de la famille Blanc.
En résumé, sous réserve de vérification et en faisant abstraction du regroupement sur la région parisienne, on a :
Une branche Saclé localisée en Bourgogne, sans lien identifié avec les Saclé de la Savoie, qui sont passés par la Lorraine,
Des ascendants d’Aimée Eugénie Marie Jacquette regroupés sur (et autour de) la commune de Parigny (Manche),
Une branche Bancod concentrée dans ses vallées du Val d’Aoste,
Une branche Garnier restée à l’abri des murs d’Allègre, même si les murs ont disparu depuis bien longtemps.
Seule la situation de la branche Blanc reste encore incertaine; on démarre dans le faubourg d’allègre pour se retrouver bloqué au niveau de Fix.
Il n’y a que 5 pages
Comme pour les pages précédentes, la numérotation des pages a été faite en fonction des informations disponibles. Elle sera éventuellement revue, quand d’autres informations permettront de rajouter des pages supplémentaires.
On commence par les Saclé
08-01 On a retrouvé la famille Saclé
08-11 Ils sont venus du Val d’Aoste
08-21 La cuisinière normande
Il y a ensuite la branche auvergnate avec
07-02 Allons du côté d’Allègre
07-31 A Allègre, je cherche les Blanc
les pages, qui traitent des ascendants au delà de la 8ème génération se retrouvent dans le volume 3 « Termaji ». En fait il n’y en a que 3 :
51-02 les ascendants de Maurice Saclé
52-11 la branche Jacquette
52-21 chez les Diard