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Les ascendants de Véronique Quelen sont essentiellement de Kerloc’h, du moins les plus proches.
Ici encore on une grille courte, comme si les documents manquaient. Pourtant cette famille, qui sera omniprésente pendant tout le 19ème siècle et une partie du 20ème, à bien une origine. Le patronyme se retrouve également vers Saint Fiacre et Saint Driec.
On retrouve aussi plusieurs branches Le Guen
Dans les ascendants de Véronique Quelen on a aussi des Belbéoc’h et des Tréguier. Il y a encore des Le Guen
On voit apparaître le village de Trésigneau, qui est situé de l’autre côté de l’étang de Kerloc’h .
On retrouve Trébéron, où sont décédés Hervé Le Goff en 1711 et Clémence Postic en 1704. Joseph Keraudren y est né en 1738 mais parents décèdent à Penarcréac’h près de 40 années plus tard.
Comme le patronyme l’indique, les ascendants de Marie Françoise Tréguier doivent venir de l’évêché de Tréguier.
Cette grille accentue l’impression de grande confusion avec la famille Le Goff de Penfrat, les Le Guen ou les Téphany (de Camaret probablement). On voit arriver Clémence Postic ; c’est peut-être la sœur de Françoise Postic, née vers 1630. Elle est d’ailleurs décédée à Trébéron.
On a encore des Mignon.
Il y a aussi Françoise Quélen.
Comment démêler tout cela? Il y a aussi beaucoup de dates approximatives.
Il y a peu de chances, que plusieurs familles différentes soient originaires du village actuel de Trébéron, sauf, si ce sont des familles d’ouvriers agricoles, que le seigneur (Goulhezre) déplaçait à sa guise. Il reste la possibilité de l’île Trébéron avec une ferme.
On trouve sur Généanet beaucoup de généalogies traitant des familles Quelen et notamment de celle, qui nous intéresse. Dans de très nombreux cas on la voit associée aux Mercier. Bien évidemment on est sutout à Kerloc’h mais les derniers Mercier ont habité Keranguyader, quelques maisons situées au nord de Kerloc’h.
Comme dans bien des cas il manque parfois des frères ou des soeurs. La plupart du temps on oublie Marie Ursule Mercier. En fait le prénom Ursule a été porté autrefois dans la famille Mercier. Ce n’est donc pas une anomalie.
Dans la famille Mercier il manque parfois Alain Marie Mercier, ascendant de François Mercier, le mari de tante Victorine (Laé).
Il y a un grand nombre de Pierre Marie Quelen en même temps, ce qui peut rendre les lectures difficiles surtout quand il y a plusieurs cas d’implexe. En fait tout le monde doit descendre de Philippe Quelen, époux de Marie Jeanne Téphany, mais il y aussi plusieurs Philippe Quelen.
Par contre on va retrouver ainsi Ida Torillec (qui a épousé succesivement les deux frères Noury), Victorine Quelen, sa cousine, celle qu’Emilienne Le Lann appelait Victo; toutes les 3 étaient nées en 1922. Il y avait aussi Marie Quelen née en 1919, « Mimi » Quelen. Leur grand mère, Angélique Mercier, était l’une des soeurs de Marie Ursule Mercier.
Sauf erreur les Torillec tenaient le « Café Maritime » à Camaret.