Version 5.4_Page 09-00_ décembre 2023

Le but de ce chapitre est d’aborder le problème des branches latérales. En effet jusqu’ici seules les généalogies ascendantes ont été considérées. Or dans la réalité on a souvent affaire à des fratries et on côtoie souvent des cousins plus ou moins éloignés sans avoir toujours la perception d’un lien familial.

La généalogie de Gérard Jouin  est descendante. Elle a permis de retrouver des liens, qui nous étaient méconnus mais le cas le plus significatif fut de retrouver un lien avec des descendants d’Allain Laé, donc des descendants, comme nous, de François Laé.

Il y a beaucoup d’exemples moins de cousinage moins lointain. Parfois ce ne sont pas obligatoirement des cousins mais le même patronyme a pu donner l’impression d’une parenté.

 Nous avions l’habitude d’aller le jeudi après-midi en visite chez des parents plus ou moins proches. D’autres parents, les plus jeunes, venaient à la maison, en général à l’heure de midi (ou plutôt 14H). Il y avait aussi les amis, essentiellement des anciens condisciples du Lycée de Brest. Entre ces deux groupes figuraient des personnages difficile à classer, notamment les parents éloignés, que l’on pourrait qualifier de « cousins à la mode de Bretagne » mais aussi bien d’autres.

 Les pages suivantes vont essayer de retrouver la trace de ces personnages et de mettre au clair les liens de parenté, s’il y en a. Ce ne sera pas facile pour certaines comme Tante Perrine, Serge Péran, Yves Lichou, qui restent pour le moment inclassables.

 Le découpage, qui a été retenu au départ, était celui des grands parents. La numérotation prévoit des places disponibles pour des pages supplémentaires. Bien évidemment il y aura des oublis et, bien évidemment aussi, cela ne marche pas toujours comme prévu.

09-11   Les autres cousins Le Bihan

09-25   Qui était Théo?

09-31   La nébuleuse Le Lann

09-35   La généalogie de Gérard Jouin

09-41   Les tantes de Kerellot

09-44   Ceux de la rue Yves Coller

Les pages énumérées ci-dessus concernent essentiellement des « cousins » des générations 4, 5 ou 6. 

Nous n’avons plus de contact avec Gérard Jouin. Par contre René Le Tocquet a une maison à Roscanvel, ce qui facilite les contacts même s’il faut remonter à Jacques et Allain Laé pour retrouver le iien entre la famille Le Bihan et la famille Le Tocquet, c’est à dire à la 6ème génération. Toutefois des liens étaient conservés comme le montrent les nombreux documents qui ont été conservés. Il y a eu aussi la « bande noire » et l’amitié entre les Gau et les Le Bihan. 

Que sont devenus les autres « cousins » 4, 5 et 6, notamment ceux des branches Saclé/Bancod ou Garnier/Blanc, du moins quand ils n’ont pas déjà été cités dans les pages précédentes