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Abandonné dès 1990, le manoir a été mis en vente. il a été en partie nettoyé pour attirer les acheteurs éventuels et il a été finalement vendu en 2022.

Le manoir principal est entouré par 3 autres constructions : une tour, accolée au manoir, une galerie, terminée par un pavillon, et une remise, qui pourrait être en fait les anciennes écuries du domaine.

En face il y a une grange également ruinée.

La tour

 Sur le plan cadastral actuel la Tour n’est pas isolée du manoir proprement dit, pourtant elle tranche nettement avec le reste du bâtiment. Elle donne même une impression de travail bâclé, qui vient défigurer le manoir, d’autant plus que l’un des murs prend appui sur le pignon du manoir avec des ouvertures, dont une est partiellement occultée au niveau du toit.

Ici aussi il y a eu du nettoyage en 2021.

On constate l’existence de pierres d’angle, y compris au dessus du manoir, comme si la tour était le reste d’une construction plus ancienne. On distingue aussi les emplacements des poutres des différents niveaux. Cela peut également être lié à des agrandissements projetés mais non  réalisés.

Une fois le lierre enlevé il est évident, que la tour est une construction plus récente et aussi de moins bonne qualité, que le manoir initial. La partie droite de la tour correspond en fait à l’escalier, qui permet d’atteindre les étages; les ouvertures sont alors décalées par rapport à celles, qui desservent les pièces.

 Il y a une pièce unique au rez-de-chaussée. Les poutres supportant le plancher sont relativement espacées et plus anciennes, à peu près identiques à celles du rez-de-chaussée du manoir. Pourtant les deux constructions ne sont pas de la même époque.

De plus le linteau de la porte d’entrée est doublé d’une rangée de briques, ce qui peut indiquer des réparations relativement récentes, probablement du début du 19ème siècle, quand les briqueteries ont commencé à se développer dans le coin, notamment Quélern. .

Sur la gauche de la photographie on distingue les pierres d’angle du manoir. Les deux constructions sont bien accolées mais non imbriquées.

 Une seconde porte a été condamnée et remplacée par une fenêtre.

 Il y a au fond de la pièce une cheminée encadrée par deux banquettes en pierre et, sur l’une, les restes d’un évier bricolé avec des blocs béton. Cela fait penser tout de suite à une laiterie.

 Il n’y a pas d’escalier pour atteindre les étages. Cela ne peut se faire que par l’intermédiaire du passage au dessus de la cuisine, mais l’état actuel (deux planches sur des poutres mal ajustées) ne permet pas de passer en toute sécurité. En fait l’ouverture est juste au dessus du mur séparant l’office de la cuisine. Entre la cuisine et le manoir il devait y avoir un vide de l’ordre de 20cm.

 Par ailleurs les poutres ne sont pas toutes de la même époque, comme s’il y avait eu une réparation de fortune. On entrevoit cependant au fond la porte de l’ouverture du second étage, qui n’a pas été murée et le plancher du grenier, qui laisse passer la lumière.  Il semble également, qu’il y ait une cloison à droite. A quoi pouvait donc bien servir cette tour ? Chaque étage n’a qu’une surface de 20m² environ moins la cage d’escalier, il doit rester 15m².

 

 Si la tour constitue une verrue, qui dénature l’ensemble, compte tenu de la qualité médiocre de sa construction, il y a cependant une exception : la corniche sous le toit. En effet elle est faite de pierres soigneusement taillées et ajustées, comme si elles provenaient d’un autre édifice. Lequel?

La corniche ressemble à celle du manoir de Keroual 

De même le type de gouttière utilisé est récent. Le toit de la tour a donc été refait bien après celui du manoir.

 Le pavillon

 En face de la tour il y a une construction sur deux niveaux, d’une pièce chacun. Le toit s’est effondré partiellement, ce qui justifie l’état des pièces en dessous. Pourtant il a l’air récent. Avec son toit à 4 pentes il était encore en bon état d’après la photographie visible dans le livre de Cyrille Maguer.

La pièce à l’étage devait être la chapelle du manoir; en effet elle a été encore utilisée à cet usage après la dernière guerre. On se souvient qu’une des pièces de terre à proximité avait pour nom Menez Bellec.

La cheminée du rez de chaussée semble récente et présente un léger jour, comme si elle avait été remaniée ou plutôt, comme si le fond était récent. Le four du manoir devait se trouver à cet emplacement.

La galerie

 Entre le pavillon et la tour il y a une galerie munie de plusieurs portes et aménagée en « boxes ». La végétation abondante ne permet pas de prendre du recul. Il faut alors se référer au plan dressé par Didier Cadiou

 Toutefois, quand on y regarde de plus près on aperçoit les restes d’une poutre. La galerie avait un étage.

Il y a aussi au dessus de la poutre une porte dans l’angle avec le pavillon. Cette porte a été ouverte dans l’épaisseur du mur et donne sur le vide actuellement mais elle devait permettre d’accéder à une pièce située au dessus du four. 

Le pan de mur extérieur semble se continuer jusqu’à la tour, qu’il n’atteint pas. Le coin donnant vers la tour est partiellement effondré et il y a de nombreuses pierres, qui encombrent le passage. En y regardant de plus près il semble qu’il y a ait de part et d’autre de la tour des pierres d’angle, indiquant la trace d’une ancienne construction, aujourd’hui disparue, entre la tour actuelle et la galerie. Pourtant sur la photographie de 1919 mise en ligne par Brest Métropole le passage parait libre; sauf si les pierres sont cachées par l’ombre des arbres voisins.

Dans un ouvrage collectif, destiné à fêter les 50 ans de l’Inventaire du Patrimoine, les auteurs donnent de nombreux exemples d’organisation de fermes et de manoirs en Bretagne. Dans de nombreux cas les métayers habitaient une longère construite à angle droit par rapport au manoir. Assez souvent il y a  un étage. Il y a également assez souvent des passages couverts entre cette longère et le manoir proprement dit. Ils parlent aussi de construction plus élaborée en bout de longère avec un toit dit « à pavillon », comme celui justement du pavillon de Quélern, parfois même avec un escalier extérieur. C’est notament le cas du manoir de Gouandour, dont la disposition ressemble bien à celle du manoir de Quélern.

Il n’y a pas de puits mais une fontaine en direction de Persuel.

Pour être complet il manquerait uniquement le colombier.

Pour mémoire il y a dans la région parisienne des grandes fermes construites autour d’une cour rectangulaire avec au fond la maison de maître (avec sous-sol) et de chaque côté des dépendances, dont les logements des ouvriers agricoles, la forge…

On a donc affaire à une organisation similaire.

En sortant du manoir on arrive sur un carrefour avec un chemin,qui continue vers Persuel d’un côté et Penarpoul de l’autre, un autre chemin, qui descend le long du manoir vers la grève de Garrec Zu et un troisième chemin, qui monte vers Penarcréac’h.

La grange

 Le long de ce chemin, un peu à l’écart, s’élève encore un grand bâtiment, aujourd’hui presque totalement ruiné. Il reste des pans de mur, un pignon et des restes de charpente.

 Il s’agit de la grange visible sur la photographie de 1919 et sur une autre plus récente mais avec des arbres

Sauf erreur c’est elle, qui est représentée dans le livre de Cyrille Moguer. Elle serait datée de 1605, donc contemporaine de la réfection du manoir. Mais la grande porte a disparu et la pierre sculptée aussi (qui l’a récupérée?).

La grange était destinée à recevoir le produit des droits, que M. Legentil possédait. Par exemple, les tenanciers du lieu de Garrec Ven devaient donner à la Saint Michel un boisseau de froment selon une Déclaration du 24 octobre 1751. Bien évidemment ils pensaient à tort, que tous les droits avaient été abolis lors de la Révolution mais on verra plus loin, que ce n’est pas le cas.

Pour mémoire il y avait aussi des granges dimières pour stocker les dîmes destinées à l’église catholique.

 Le chemin fait un coude puis part en ligne droite à l’assaut de la montagne

Le chemin montant est une véritable allée triomphale

Ce chemin a été par endroit profondément entaillé par les eaux de ruissellement, ce qui rend la progression difficile. Curieusement il est bordé par deux talus distants d’une quinzaine de mètres sur pratiquement toute sa longueur.

Ces talus sont plus ou moins visibles en raison de l’abondance de la végétation mais, si on peut faire l’abstraction de la végétation, qui l’encombre, on est en présence d’une sorte d’allée triomphale, reliant vraisemblablement le manoir au moulin de Quélern, situé autrefois sur le plateau, face à la mer.

En fait le chemin débouche un peu en dessous du village de Penarcréac’h. Des broussailles masquent le point d’arrivée du chemin.

En venant de Penarcréac’h, s’il n’y avait pas les traces de cheminement au sol, on ne se douterait pas, qu’il y a un chemin et on ne s’y aventurerait probablement pas.

 Les Photos de 1919

 Brest Métropole a mis en ligne un grand nombre de photographies aériennes concernant le pourtour de la rade de Brest. Il y a notamment tout un ensemble de photographies prises en 1919, à une époque, où les arbres étaient encore rares.

 Sur l’une des photos il est possible de retrouver le manoir et l’allée, qui part du manoir pour aller vers le moulin. Compte tenu de la pente, il est difficile de parler d’allée cavalière. Quel pouvait donc être son but ? 

Le découpage des terres a-t-il été modifié ? À droite il semble y avoir également une allée similaire partant du village de Kerinou mais l’examen du cadastre montrera, qu’il n’en est rien.

L’allée prend son départ dans la cour du manoir, dont elle a exactement la largeur. En fait ce n’est pas tout à fait vrai .

Le cadastre napoléonien se sert de l’allée pour déparer deux sections : la section 2 de Lesvrez et la section 8 de Persuel.

 Le plan de la section  de Persuel montre bien l’allée, qui arrive devant le manoir avec un décrochement à gauche, comme si on s’alignait désormais sur la tour et non plus sur le manoir. 

Autour du moulin de Quélern

 Le plan du village de Penarcréac’h permet de voir le haut de l’allée avec le décrochement provoqué par la parcelle 243, comme si le propriétaire de la parcelle avait refusé de décéder la portion, qui aurait permis d’aller jusqu’en haut. L’endroit le plus étroit correspond d’ailleurs la barrière de broussailles représentée sur la photographie ci-dessus. Pourtant le propriétaire de la parcelle en 1833 est justement Emmanuel Legentil. Le tracé de l’allée est donc plus ancien et il n’a pas jugé utile de le modifier, ce qui vient confirmer l’idée, qu’il n’habitait pas le manoir. En effet en 1833 c’était un certain Balc’h.

Le moulin est sur la parcelle 370, propriété également d’Emmanuel Legentil. Les parcelles, qui l’entourent, portent le nom de « guichen ar veil » (auprès du moulin). Le profil arrondi des parcelles peut être un rappel de l’ancien tracé de l’allée avec une zone intermédiaire, découpée différemment, comme s’il y avait eu un partage de tout l’espace entre les deux chemins  selon d’autres critères.

Inclinaison de 6°

 L’allée part de travers (a-dreuz).

Quand on regarde de près les plans et les photographies on s’aperçoit, que, si l’allée a une largeur très proche de celle du manoir, elle n’est pas rigoureusement dans l’axe il y a en effet un angle de l’ordre de 6°. Il n’est pas facile d’évaluer l’angle avec précision car la photographie de 1919 n’a pas une définition suffisante; de son côté le plan cadastral de 1830 est assez approximatif au niveau du manoir. Le cadastre actuel est plus précis mais on est sur deux feuilles.

Le cadastre napoléonien permet de voir également, que l’allée de Kerinou est en fait un ensemble de lanières difficilement exploitables et finalement transformées en chemin au début du 20ème siècle.

 Cette inclinaison de 6° environ se retrouve dans le plan de 1782 mais pas dans celui, qui est daté de 1836. Le mur extérieur de la remise est également aligné sur le coin est de la grange (3ème trait rouge) avec un angle similaire (en fait il est de 8° selon le relevé de Didier Cadiou).

Implication dans l’évolution du manoir

 Dans un pays connu pour son manque de grands moyens de communications et sa prédilection pour des chemins tortueux, que vient faire une allée de 15 mètres de large  et en ligne droite sur près de 200m?

 La seule explication possible : la manifestation de la puissance du seigneur, qui a fait tracer une allée entre son manoir et son moulin avec, devant le manoir, la grange pour stocker le blé et le four banal dans le pavillon.

Dans les ouvrages sur les manoirs bretons on trouve souvent une allée de ce type, bordée d’arbres.

Pour passer devant la grange il fallait déjà incliner l’allée de 6° mais pour aller en droite ligne du manoir au moulin il eut fallu incliner l’axe de l’allée de 6° supplémentaires (trait bleu). Il est possible que le propriétaire du manoir au moment de la construction de l’Allée n’ait pas voulu amputer la parcelle 243 (le numéro, quelle porte sur le cadastre napoléonien). Le profil retenu est donc un moindre mal.

Toutefois cette allée présente un inconvénient majeur. En effet, en hiver, c’est un véritable canal de dérivation pour les eaux de ruissellement, même si la butte de Penarcréac’h n’est pas tout à fait le sommet du plateau (55m)  ; le moulin de Lesvrez est situé encore un peu plus haut en culminant à 60m.

Les profondes entailles dans le chemin actuel montrent bien la violence des eaux, qui dévalent la pente et entraient autrefois directement dans la cour du manoir, inondant la cave et attaquant la base des murs. C’est peut-être la raison de l’effondrement de la tour.

Aujourd’hui elles sont déviées par le chemin en jaune, qui devait déboucher sur la grève au niveau de Garrec Zu . Ce n’est plus le cas car il y a un point bas, qui se situe au bout du jardin du manoir. L’eau part alors vers l’étang.

 La photographie ci-dessous montre, que malgré la modification du tracé de l’allée l’eau entre encore par le soupirail situé sous le perron, entraînant avec elle de la terre. La déviation créée au niveau de la grange, qui permet de diriger l’eau vers l’autre allée et vers la mer, n’est donc pas encore suffisante pour protéger les bâtiments.

Goarem Creis

A la recherche des habitants de Trémet, l’intérêt s’est orienté vers Penarcréac’h. Une route presque droite descend du village jusqu’à Trez Rouz. Elle fait le tour du village et rejoint la route de Lezvrez en passant près de la parcelle, où s’élevait autrefois le moulin de Quélern. L’une des parcelles porte le nom de Goarem Creis, le chemin du milieu.

Si on la situe sur le cadastre napoléonien elle passe pratiquement à la limite de 4 parcelles, dont 3 appartenaient encore à Emmanuel Legentil. Les propriétaires du manoir avaient-ils prévu de prolonger la grand allée jusqu’à la mer ? Un trait de crayon marque son futur emplacement.

En fait d’après le cadastre actuel la route prévue passe très exactement à la limite des parcelles. Deux d’entre-elles ont d’ailleurs conservé le profil, qu’elles avaient en 1830

Ce n’est pas tout à fait vrai au niveau des deux premières parcelles. C’est peut-être cette partie du chemin, qui s’appelait Goarem Creis. Cette disposition existait-elle en 1694 avec le manoir, à l’abri côté rade de Brest, le moulin, qui servait de tour d’observation et Goarem Creis, qui descendait vers Trez Rouz? Ou bien est-ce une conséquence de la bataille de 1694?

La milice commandée par le sieur Legentil devait être à l’abri près du village de Trémet ou, en partie du moins, près du manoir., où était le QG de M. de Langeron. 

Remarque

La grange a été refaite en 1605 et le manoir à peu près au même moment. Or le combat pour la prise du fort de la pointe des Espagnols date de 1594, une dizaine d’années auparavant.

Le fort de la pointe abritait 400 espagnols plus les femmes et les enfants, en même nombre parait-il. Ils devaient se nourrir. Or la presqu’île n’était pas très riche et les nombreuses bandes de pillards, qui écumaient la région ne facilitaient pas le ravitaillement. Les habitants de certains villages ont été passés au fil de l’épée.

Les franco-anglo-hollandais venus chasser les espagnols étaient 10 fois plus nombreux (en gros car leur nombre varie selon les auteurs). Il fallait aussi les nourrir et nourrir leurs chevaux. En 1694, dans une période plus calme, la cavalerie a été stationnée à Châteaulin, faute de fourrage disponible à Crozon.

Commet les anglo-français se sont-ils débrouillés pendant le siège, qui a duré plusieurs mois? Il y a dû y avoir pas mal d’exactions, de destructions même. 

D’où une vague de reconstruction dès le départ  des belligérants. Il a fallu reprendre à  vivre. C’est probablement pour cela, que beaucoup de maisons de Roscanvel sont datée du premier quart du 17ème siècle. La grange a été alors l’une des premières reconstructions. 

Parmi les papiers de la caisse conservée par Thérèse Laé il y a un document daté du 17 février 1600. Il concerne un échange à Kervian mais l’encre est partiellement effacée. Le principal intéressé est Pierre Palud. Le notaire s’appelle Goulhezre; serait-ce le sieur de Kerlern? Ou plutôt un de ses serviteurs, qui avait pris le nom de son suzerain?

Le manoir a été mis en vente

Le manoir a été mis en vente en 2021. Les journées du Patrimoine ont été l’occasion de le revoir. Le manteau de lierre a disparu. Cela permet de voir un peu mieux l’état du bâtiment principal avec la porte de la cave et la porte, qui donne sur le « parc ».

On note par endroit l’absence de joints entre les pierres. Inversement la présence de joints est peut-être le signe de rénovations récentes. Le manoir a certainement souffert des bombardements de septembre 44. Les joints correspondent d’ailleurs à une zone plus régulière.

Les fenêtres ont été fermées.

La tour est toujours aussi mystérieuse.

On peut même se demander comment cela tient en place.

Il s’agit d’une construction, qui prend appui sur le bâtiment principal mais les pierres, qui dépassent du coin, sont elles en attente d’une extension ou les restes d’une construction supprimée ?

On peut se demander d’où viennent les grosses pierres, qui sont éparpillées dans la pièce du rez-de-chaussée de la tour. Il n’y a pas de trou dans le plafond et elles sont trop grosses pour la cheminée. De même la banquette à droite a été partiellement détruite, contrairement à celle de gauche. Pour mémoire le mur de droite est en fait le pignon du manoir.

Le pavillon est toujours dans son état délabré. La profondeur réduite du foyer du rez-de-chaussée est compatible avec celle d’un ancien four, qui a été condamné.

La fenêtre a également été murée.

Cela veut-il dire, que la galerie, qui fait suite a été construite plus tard ?

L’accès à la pièce, qui se trouve au dessus, n’a pas été défriché. L’accès à la porte derrière non plus.

Finalement le puzzle reste inachevé.

Le manoir a trouvé un acquéreur, qui aura la lourde tâche de tout remettre en état en espérant que la remise en état du site ne sera pas trop perturbée par d’éventuelles contraintes administatives.

Dans le cas de la zone ZZ de Brest on parlait de 2 années de négociations avant de pouvoir commencer les travaux.

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