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La dernière..
Ci-dessous la moitié de la grille de Marie Ursule Mercier, celle, qui concerne la branche paternelle, puisque la branche maternelle est aussi celle des Laé, qui a été détaillée dans le chapitre 47 (la saga des Quelen).
La famille Mercier est relativement discrète. Sur Généanet on trouve bien des Mercier au bourg de Crozon et aux environs de la plage de Goulien mais la piste ne remonte pas très loin.
Il ne reste plus, que les Drévillon et encore… En effet on va y retrouver une des sœurs Téphany.
Il n’est pas possible de remonter au delà de Jean Quelen et Françoise Derrien (10ème génération). On se retrouve à Keranguyader, ce qui laisse à penser, que les maisons et terres de Keranguyader ont été le berceau des Quelen, du moins dans la limite des archives accessibles. Par contre il est possible de se rattacher aux Ollivier du Kermeur un ancien village de l’île Longue. De là à se raccrocher à la famille de Jean Philippe Ollivier située à Kerdeven, tout à côté?
Les Quelen du Fret sont probablement une branche de la famille de Kerloc’h-Keranguyader.
Que dire alors des Le Guen, des Téphany?
Il faudrait pouvoir remonter un peu plus dans le temps.
.les ascendants de Pierre Drevillon
S’il est difficile de retrouver les traces de la branche Mercier, la branche Drévillon par contre aurait dû être plus riche. Elle est originaire de Morgat et des environs, avec de très nombreuses branches, qui se sont surtout épanouies autour du village de Menesguen.
Les Lespagnol et Priset sont également de la région de Morgat. Malgré cela on reste accroché à la 10ème génération avec seulement 4 personnages de la 11ème. On devrait pourtant trouver des compléments du côté des Largenton ou des Priset.
La recherche des ascendants est limités par le fait, que les BMS ne commencent, que vers 1704 et que les rares informations, qu’ils coniennent ne sont pas toutes fiables.