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La problématique
Les cousins oubliés de la famille Le Bihan ont été abordés dans la page 09-11 . Ce sont essentiellement des descendants de Jean Marie, mais il y a aussi les autres enfants de Prosper. Les filles changeant de patronyme, cela ne facilite pas le suivi, pas plus, que les remariages.
Il y a des familles nombreuses, comme la famille Le Bihan, mais, qui se rétrécissent progressivement. Il y a en d’autres, au contraire, qui sont en expansion continue ; on le verra avec les Jouin. Il y en a enfin, où on reste enfant unique. C’est le cas de Célestine Potin, de Marie Jeanne Péran, d’Édouard Le Bihan ou d’Émilienne Le Lann. Par ailleurs il y a des cousins, dont on ne parle pas (ou plus). Il y a aussi des « faux » cousins, comme Théo Péran (page 09-25).
Pourtant Célestine Potin parlait de son oncle d’Amérique. Elle est allée également voir à Quimper un autre cousin, prêtre de la paroisse de Kerfeunteun. Comment les retrouver ?
L’avantage d’avoir un père médecin, c’est, qu’il attirait spontanément tous les cousins directs ou indirects en quête de soins. Il n’est pas toujours facile de retrouver les filiations.
La Tante Perrine Capitaine
Marie Louise Capitaine est décédée à Saint Pierre le 7 mai 1948, 35 rue du Rempart, chez sa fille Marie Françoise. Une autre fille, Maria, épouse d’Hippolyte Thomas, habitait le même immeuble.
Pourtant il y avait également à Saint Pierre Tante Perrine (Capitaine), que nous appelions indifféremment Tante Perrine ou Tante Capitaine. Sauf erreur il y avait également son fils, Jean.
Elle devait être, selon toute logique, l’épouse d’un fils de Jean Louis Marie Capitaine ou d’un petit fils de Denis Capitaine, qui a épousé Anne Marie Corrigou à Roscanvel, le 19 février 1810.
Pour le moment le lien n’a pas été trouvé mais la page reste ouverte, au cas où….